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Je ne cède pas aux compromissions, je ne possède rien d'autre que moi-même : identité, identité...évolution morale et physique, amélioration. Peut-on se donner comme règle morale de suivre sa nature pour vivre heureux ? Ou le bonheur selon Freud. Je suis ce que je pense et pense ce que je suis. En tant qu'individu je suis un être pensant mais ce que je suis est une chose et la conscience que j'ai de moi-même en est une autre. Réflexion : Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? Une question qui invite à un examen précis : comment à la fois changer et ne pas être quelqu'un d'autre ? Et....comment peut-on se choisir comme dans un catalogue et croiser des personnes chaque jour en échangeant que furtivement quelques mots ou rien ? Et ne répondez pas : par manque de temps ou par crainte ni manque de confiance ! Merci. |